À l’aube d’une journée, à l’aube d’une vie, les rayons du soleil d’automne réchauffent une chrysalide. De ce délicat cocon s’extirpe une petite créature fragile. Une éphémère est née au levé du jour. Elle s’éteindra à la tombée de la nuit.
– Une journée, c’est tellement court songe-t-elle. Je n’ai pas le temps de rester assise là à m’ennuyer. Je dois profiter avec fougue de tout ce temps qui m’est donné. Découvrir le monde qui m’entoure, voler vers de nouvelles contrées !
Que fera-t-elle pour profiter de sa journée de vie ?
La suite, au prochain épisode ! 🙂
Oh c’est tristounet tout ça ^^ Avant de lire le texte je me suis dis « tiens, elle est toute nue ! » 🙂
Joli gribouille, la suite vient la semaine prochaine ?? C’est long 🙂
Oui ! La suite la semaine prochaine 😀
L’Éphémère aura quelques semaines de photogribouille 🙂 Pas si éphémère que ça finalement !
Je pense qu’il va falloir en faire un livre ou un calendrier, de toutes tes gribouilles, à la fin de l’année. Et en quatrième de Couv: « par l’auteure du plébiscité manuel du photographe en Herbe » :).
Pour la dernière, tu nous fais « l’éphémère ride? » (Désolé :p)
Mouuuuhahaha !! c’est une idée ! La pauvre vielle éphémère sera toute ridée à la fin de sa journée ! ce ne sera pas très beau à voir ! :S
Une « éphémère » éphémère totalement nue en automne, c’est le rhume assuré….Dure journée qui s’annonce 🙂
Super 🙂
Ha elle finira peut être avec le nez rouge ? Faut peut être qu’elle commence sa journée par un peu de shopping ?
Ohh c’est vrai que c’est tristoune mais si joliement conté une fois de plus. J’espère que ses ailes fragiles la porteront loin, loin, jusqu’à une source de jouvence dans laquelle elle puisera quelques gouttes au creux de sa main, lui donnant l’immortalité.
Ha on verra bien où ses petites ailes l’emmèneront 🙂 peut être trouvera-t-elle cette source de jouvence !